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                                     Préparation pour aller à la plage

Mes parents décidèrent un dimanche d'été d'aller à la plage vu le merveilleux soleil. mes frères avaient Sébastien 4 ans, Sophie (7), Paul et julien (10), Lucie (12), moi (15) et Hervé (17). Nos parents nous firent la leçon de nous dire :

- " Nous allons à la plage, à la moindre incartade, caprice, et autres, C'EST LA FESSEE CUL NUE. Comme vous pouvez le voir, on emmène aussi de la sortie Mr Martinet et Mme baguette. Gare à vous et à vos derrières. Filez vous changer avec vos shorts et maillots dessous. Vous Lucie et Sophie, mettez des maillots 2 pièces, celà sera mieux facile à baisser pour une éventuelle fessée".

Ma mère emmena Sébastien pour lui mettre son maillot et son short, mais il fit de la résistance.

- " Attention laisse-toi faire car tu as 4 ans et celà risque de chauffer sur ton derrière nu. .....ARRETE ! Très bien".

Ma mère prit mon frère de 4 ans, l'attrappa par le fond du pantalon, le posa à plat ventre sur ses genoux, déboutonna et baissa le froc. Puis elle descendit la petite culotte blanche vers les chevilles malgré les jambes qui remuaient. Le petit derrière bien rond et dodu se présentait à recevoir la sanction ultime et nouvelle. Car il n'avait jamais eu à ce jour la déculottée encore, car il a fêté ses 4 ans la veille.


Ma mère leva sa main, et vlan sur la peau du derrière qui s'applatissait suite à l'impact de la frappe, le derrière devenait coloré du côté droit de la fesse. Tous on était là pour voir celà. Sébastien sursauta lors du premier impact sur son derrière. Les autres coups suivirent, celà commençaient à chauffer, car il pleurait et voulait partir des genoux de notre mère. Le derrière était bien rouge quand elle le remis debout un moment après. Sébatien lui dit :

- " méchante, conne..."
 Il n'eut pas le temps de continuer qu'elle le pencha à l'avant brusquement, et elle lui donna de nouveau la fessée et davantage d'énergie à claquer fortement.

- "Dis pardon où je continue "

Toujours rien malgré les coups sur les fesses qui devenaient très très rouges au point que notre frère se tortille le derrière et plie ses jambes car la cuisson est bonne. En vain, elle le remet bien debout, les jambes pas pliées et continua la sanction. Au bout d'un moment, il trépignait ses pieds, voulait mettre ses mains sur le derrière pour le protéger. Là ma mère voyait qu'elle allait obtenir gain de cause dans les minutes qui suivirent.

Peu après, il capitula et s'excusa, et l'habilla. Après debout attendant de monter dans la voiture, il se frottait son derrière par dessus le short.


Tous montèrent dans l'espace.

                              L'arrivée sur la plage


Nous descendîmes de la voiture, on porta les affaires, sacs, serviettes, parasols vers la plage, il fallait monter un petit sentier. Puis nous arrivames à la plage. On posa les affaires, et moi avec mes frères et soeurs sommes précipités voir l'eau. Au retour, on court vers notre emplacement, Paul (un des jumeaux 10 ans) s'arrête, car une mère a reçu du sable sur ses vêtements. Il reste hébété. Non par la mère, mais ce qui se passait à quelques mètres de cette mère. Une fille de 10 ans était debout sur les genoux, elle portait un T-shirt, et avait les mains sur la tête, face au paravent, et son derrière était rouge, marqué de traces de mains.

Voyant celà, la mère dit, oui, petit, elle a été insolente, elle a reçu comme elle a l'habitude une fessée cul nu. Petit, tu pourrais t'excuser, on t'a appris les bonnes manières.

Mon frère regarda dans la direction de notre mère qui nous regardais. paul dis à la mère de famille :

"excusez-moi pour le sable, je ferais attention, n'en parler pas à nos parents"

"pourquoi petit ?"

"Sinon, je vais recevoir une fessée déculottée"

"Pas de soucis, je suis sévère uniquement avec les miens, pas ceux des autres, et je ne rapporte jamais aux autres parents ce que font les enfants des autres. J'ai assez de travail avec les miens. (elle regarda sa fille) SOPHIE, Attention, arrête de te frotter tes fesses, sinon tu vas encore en recevoir, dernier avertissement..."

"Vous avez des garçons, madame ?"

"Oui, un garçon de 8 ans, qui quand il va revenir, il va lui aussi avoir le derrière qui va lui cuire, car partir se baigner sans autorisation, ce n'est pas bien. Son père est parti le chercher, à leur retour, il va avoir de l'ambiance"

"Excusez-moi, je dois retourner voir mes parents" (on allait vers nos parents)

Notre mère nous demanda :
"Qu'as-tu fait encore à cette dame,Paul ?"

"Rien, rien, je te le promets, je te le promets..."
"J'en suis pas sûr, déjà quand tu promets c'est signe d'une bêtise, je te connais par coeur, avance viens-ici, allez !
Je dois te le redire. VIENS ICI DE SUITE !"

Paul s'avança, traîna des pieds, à la hauteur de notre mère, elle lui dit :

"penche-toi à l'avant, tu vas recevoir une fessée déculottée, j'avais dit aucune bêtise sinon la sanction, allez paul.."

Paul se pencha, notre mère descendit le short, et le maillot jusqu'aux genoux, puis un élan avec sa main, et :

"Clac, clac, clac" "Aie, aie, aie, clac, ouille, clac, clac, aieaieouille, clac, clac, clac, Ouilleouilleouille, j'ai mal, Clac, CLAC"

Paul avait le derrière rouge, elle lui dit qu'il s'assit cul nu sur la serviette durant 15 minutes. Il s'assit et se frotta son postèrieur, énergiquement et faisait des grimaces de douleur.

La mère de la gamine, regardait Paul et hochait les épaules pour dire qu'elle n'était pas responsable car elle n'avait rien dit.




Quelques heures après, une famille de deux enfants (2 filles de 11 ans) arriva sur la plage, et les parents leur donnèrent des consignes à respecter, se baigner dans la zone surveillée uniquement.

Un moment après, le père va rejoindre les deux filles qui étaient parties se baigner dans la zone surveillée. 20 minutes après, le revoilà furieux, tenant à chaque main chaque gamine qui ne disait pas un mot mais dont l'autre main était posée sur leur derrière pour se défendre.

Arrivé devant sa femme, il dit :

"elles se sont baignées à la zone qui n'étaient pas surveillée, elles auront la fessée. A tour de rôle, vous viendrez sur mon genou".

 Au tour de la seconde, l'autre se frottait son derrière très rouge et pleurait énormément.

A toi, Valérie, approche, elle s'allongea, et tremblait des jambes car vu le résultat de sa soeur. Il la mit sur son genou et
frappa fort avec sa chaussure sur la fesse droite et gauche à une cadence infernale, la même que pour l'autre soeur.

Les jambes bougeaient au rythme des impacts sur la peau rouge vive.

Au bout d'une vingtaine de minutes, il arrêta et leur dit "vous rester debout durant heure pour montrer à tous les gens que vous avez été pas sages".