Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 19:27

Karine 11 ans ne recevait plus de fessée depuis ses 9 ans mais depuis ses 10 ans, elle est devenue insupportable, et les parents envisagent le retour de la fessée pour leur fille. Karine avait reçu la fessée depuis ses 3 ans à ses 8 ans inclus. Et cela allait mieux au niveau pour obéir car la fessée était en public, cul nu, à la maison ou sur  pantalon et slip selon les bêtises.

 

 

 

 

 

spankbedbis

 

 

 

 

 

A suivre....

Par dendavid
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Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 19:24

Au collège, jeudi pause midi, Alexia 10 ans raconte à sa copine Marion que son frère Sébastien 8 ans, mercredi après-midi, a eu une terrible fessée par leur mère, car il était très épouvantable et dissipé hier...

 

Jeudi matin, Alexia 10 ans raconte durant la queue à la cantine sa journée d'hier et ce qu'elle a fait :

 

- Hier matin j'ai fait mes devoirs, et j'ai joué à la console. Mais l'après-midi, on est resté là mon frère, ma mère et moi.

 

- Et qu'est-ce que tu as fait alors ?

 

- Eh ben, mon frère de 8 ans a eu une très grosse fessée cul nu, et plus elle le fessait, plus il continuait.

 

 - Ah bon, qu'est-ce qu'il avait fait ?

 

- Il devait jouer dans le jardin et il a désobéi comme d'habitude. Il a rigolé quand elle l'a grondé, du coup il s'est retrouvé

 

plat ventre...

 

 

 

 

 

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A suivre...

Par dendavid
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Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 19:16

Anthony 11 ans, classe de redoublement doit avoir que des bonnes notes sinon la fessée par sa grand-mère ou grand-père qui l'élève suite au décès de sa mère.

 

 

L'année dernière Anthony classe de CM2  avait peu travaillé malgré une volonté car il savait qu'il risquait de s'en 

 

prendre une bonne.

 

 

Au final, la maîtresse vu les résultats médiocres et pas au niveau pour aller au collège décida de le faire redoubler

 

avec l'accord de la mère. Or un mois après elle décèdera suite à un accident de voiture. Les grands-parents

 

s'occupent désormais d'Anthony, et le fesse régulièrement comme le faisaint leur fille à leur petit-fils.

 

A la nouvelle rentrée scolaire, la grand-mère lui dit :

 

- Anthony tu redoubles, tu connais le programme scolaire, tu dois avoir que des bons résultats sinon je te flanquerai ainsi que ton grand-père une grosse fessée déculottée à chaque mauvaise note et ainsi quz pour ton comportement.

 

  As-tu compris ?

 

- Oui (dit-il penaud, car il savait que les fessées de ses grands-parents faisaient extrêmement mal et douloureux et cul nu, durant un très long moment).

 

 

 

Un mois après il faillit s'en recevoir une mais le grand-père lui dit, c'est bon pour cette fois, mais la prochaine sera donnée.

 

Un jour d 'octobre gran soleil, Anthony parti à l'école avec son pantalon blanc limite transparent (on apercevait sa

 

culotte blanche), et une chemise blanche et ses chaussures.

 

 

 

En cours, la maîtresse dans la deuxième heure de la matinée, nous donna nos contrôles d'histoire, et Anthony avait

 

une mauvaise note. Il pensait que s'il donnait la note à midi quand il rentrerait la fessée serait moins longue que s'il la

 

donnait ce soir, où la son postèrieur risquerait de bien avoir une cuisson bouillante sur sa peau des fesses.

 

 

Il décida donc de le dire à ses grands-parents à midi. L'heure venue, il rentra à pieds, seul et sonna à l'appartement.

 

La grand-mère ouvre :

 

 

- ah c'est toi, ho ho vu ta tête, tu as quelque chose à nous dire.

 

(Anthony n'osait rien dire et soudain...)

 

- ALORS TU DIS OU TU PREFERES QUE JE TE FESSE DEHORS AU MILIEU DU PARC DE LA RESIDENCE !

 

- Non, non, j'ai eu une mauvaise note pour le contrôle d'histoire.

 

- COMBIEN CHENAPAN ?

 

- 5 sur 20 (il baissa sa tête, et savait vu le ton qu'il aurait mieux fait de le dire le soir...)

 

- QUOI UN 5, TU N A PAS APPRIS TA LECON POUR AVOIR UNE TELLE NOTE DE PLUS TU REDOUBLES, ATTENDS TU VAS VOIR TES FESSES...

 

  (Elle le prit la taille du gamin sous son bras, le baissa vers l'avant, et le fessa sur le pantalon blanc d'un geste vigoureux et d'une forte cadence)

 

CLAC CLAC CLAC CLAC CLA C CLAC CLAC CLAC CCLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC

 

- Va manger, tu auras la suite après le repas, vilain ....

 

(le gamin se frotta son arrière train par dessus le pantalon et marcha avec difficulté car elle l'avait fessé plus fortement que d'habitude et il se demanda ce qu'elle voulais dire que la suite serait après le repas. Il s'assit avec douleur, il mit ses mains sous fesses pour amortir)

 

- Mange correctement Anthony ou te fesse de nouveau et tu mangeras mieux ce soir.

 

(Anthony retira ses mains de dessous ses fesses car il craint la suite)

 

Il mangea et après son dessert, la grand-mère le prit par le poignet :

 

- ALLEZ VIENS PRENDRE TA FESSEE DECULOTTEE POUR TA VILAINE NOTE MAIS D ABORD TU VAS GOUTER A LA  BOSSE PUIS A LA BAGUETTE. PENCHE TOI ET TIENS TOI A LA CHAISE QUI EST DEVANT TOI.

 

 

(le gamin exécuta les ordres mais il avait peur pour son postérieur, et il avait de quoi avoir peur de la cuisson à venir)

 

 

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A suivre...

Par dendavid
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Jeudi 8 juillet 4 08 /07 /Juil 22:16

 

A l'école, Thomas 10 ans, a souvent l'habitude de faire le pitre, l'andouille pour faire rire les copains, car chez sa mère,

 

les pitreries tournent très vite direct par une bonne fessée déculottée, slip et pantalon baissés.

 

Il en profite donc de le faire en classe. Jusqu'à présent présent l'institutrice était indulgente,

 

acceptait les pitreries de son élève depuis qu'elle avait su que lui et un autre élève recevaient

 

de toute la classe la punition à l'ancienne, la fessée déculottée et desfois au martinet.

 

Mais un matin, Thomas dépassa les bornes et la maîtresse a vu le moment d'intervenir la mère

 

pour stopper les pitreries qui tournaient à l'irrespect et insolence.

 

 

Thomas pour faire son clown, faisait des bruits de prout, la maîtresse lui disait de stopper mais

 

il insista;

 

- Thomas arrête ou tu me donneras ton cahier de texte que j'écrive un mot pour ta mère à faire

 

signer à midi et à me le rapporter signé tout à l'heure à 13H30 .

 

- D'accord madame, j'arrête.

 

(peu après un bruit retentit de prout)

 

-THOMAS TON CAHIER DE TEXTE DE SUITE (cria la maîtresse)

 

-Non, non, je recommencerais plus,je promets, je promets,

 

- Ton cahier, vite que je te le redise pas une autre fois.

 

- Non s'il vous plaît, ma mère va me donner la fessée déculottée, elle me fait mal, très mal ...

 

-Tu n'avais qu'a t'arrêter quand je te l'ai dit, je t'avais prévenu, tu as continué, tu connaissais la suite, faut pas gémir,

 

allez donne le cahier.

 

 

(Thomas se leva, triste car il savait ce qu'il allait recevoir sur son postérieur chez lui d'ici une heure et demi et porta son

 

cahier, la maîtresse écrivit le motif du mot, bruits incessants de gaz malgré des avertissements d'arrêter)

 

- Tiens ton cahier, je le veux signer tout à l'heure après la pause midi à ton retour.

 

Le gamin à l'idée d'en recevoir une bonne, se frotta ses fesses par instinct.

 

- Eh bien Thomas, tu n'as pas besoin de te les frotter, tu auras tout le loisir je pense de le faire cet après-midi quand tu

 

reviendras et que ta mère te ramènera le slip et pantalon baissé jusqu'au genou pour montrer ta correction reçue.

 

 

  Midi arriva, Thomas quitta l'école, et monta dans la voiture comme si de rien n'était, il tenait le cahier.

 

La mère roula et demanda :

 

(thomas allait avoir un aperçu ce qui risquait prochainement de recevoir à la maison)

 

- C'EST QUOI CE CAHIER ?

 

- Un mot à faire signer (dit-il voix tremblante)

 

  - Très bien, arrivant à la maison tu auras ta fessée cul nu, et une très bonne, je peux te le dire,

 

pour chauffer ton derrière, il va chauffer, même au point de faire chauffer une viande sur ta

 

peau des fesses tellement que ton derrière va te cuire, sale garnement...

 

 

Elle ouvrit la porte :

 

- ENTRE VILAIN

 

- oui dit le gamin apeuré, car il savait ce qu'il lui attendait, ou plutôt son postérieur.

 

 

Aussitôt, la mère prit le cahier, lisa et fronça les sourcils de plus en plus et dit :

 

- là mon gaillard, c'est le sommet des bêtises, pour une bonne, tu vas avoir une bonne

 

correction jusqu'à la peau rouge de rouge, rouge sang. Viens ici de suite...

 

 

Il arriva penaud, elle lui attrappa le pantalon et lui baissa, puis le slip, le prit sous son bras

 

autour de la taille, le petit derrière bien rond tremblait avant même qu'elle commence la série

 

de claques qui allait durer une certaine longue durée.

 

 

La mère leva la main très haut, et :

 

- CLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC AIE CLAC CLAC OOUUUILLLE (le derrière

 

blanc devenait rosé, et plus elle frappait énergiquement, le cul cul rougissait rouge foncé, très

 

foncé, les jambes du fessé se tortillait) CLAC CLAC AIIIIEEEE CLAC CLAC CLAC AAIIEEE

 

OUILLE CA BRULE STOP CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC  (elle leva encore plus avec élan l

a main et frappa encore plus fort à une cadence plus rapide) CLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC AIIE JAI MAL CLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLACCLAC CLAC CLAC OUILLLE CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC 

 

 

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  a SUIVRE le meilleur est à venir prochainement...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par dendavid
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Lundi 10 mai 1 10 /05 /Mai 19:40

 

Au matin, la mère de 4 garçons Samuel 12 ans, Nicolas 11 ans, Fabien 4 ans, et Romain 2 ans demanda aux aînés l'heure de sortie du collège après les cours :

 

-Moi (dit Nicolas) à 15H30 je rentre de suite.

 

- Moi (dit Samuel) à 16H30, et je rentre immédiatement après pour faire mes devoirs car j'ai des controles.

 

-Bon (dit la mère), je vous attendrais, surtout toi Nicolas pour m'aider à faire les courses, je compte donc sur toi, tu as interêt à tenir ta parole sinon...

 

-oui, j'aurais comme d'habitude une bonne fessée cul nu devant tout le monde, et mon derrière me brulera au point que je ne pourrais m'asseoir pendant plusieurs heures (dit Nicolas) si je je n'obéis pas.

 

 

Samuel et nicolas allèrent au collège.

 

nicolas parle avec un copain, Daniel.

 

- Comment ca va, Dan ?

 

- Mal, ce matin j'ai eu droit à 30 coups de martinet sur mes fesses, j'ai les fesses qui brûlent.

 

-Ah bon, t'as fait quoi comme betises ?

 

- J'ai mal rangé ma chambre, j'avais mis n'importe comment dans les tiroirs et dans les placards. mais ma mère a

 

regardé, et là je m'en suis pris une bonne fessée, puis au martinet. Viens au wc, je vais te montrer mon derrière.

 

 

 

Ils allèrent au wc et Daniel baissa son pantalon jogging jusqu'au genou, effectivement, ses fesses étaient très rouges,

 

et rouges foncés est pas le bon mot, très très rouges sans compter des rayures du martinet.

 

Nicolas dit :

 

- Eh ben, elle t'a pas loupé, même ma mère ne me fesse pas comme celà (mais il vivra celà d'ici quelques heures, et il

 

ne le sais pas)

 

 

 

  Après la récré, Daniel proposa à Nicolas qu'il vienne chez lui pour faire les devoirs ensemble, ou plutôt s'amuser.

 

Nicolas accepta sans hésiter oubliant sa promesse à sa mère de rentrer juste après les cours.

 

 

A la fin du cours à 15H30, Nicolas parti donc chez son copain. Nicolas découvrit le gros martinet accroché au mur de la

 

cuisine, 20 grosses lanières de cuirs épaisses.

 

 

 

Du côté de la mère de Nicolas, elle attendait son fils depuis 15H30, ou plutôt 16h maximum le temps de rentrer, et

 

16H30 arriva, toujours rien. Elle alla dehors si elle le croisait par hasard dans les rues environnantes. Rien. Elle

 

croise une voisine à 17H00 quand elle retournera dehors, et dit :

 

- Vous n'auriez pas vu mon fils Nicolas dans le coin ?

 

- Non, pourquoi ? Vous avez l'air inquiète...

 

- Il devait revenir après les cours de 15H30, et rien depuis, il m'avait promis de revenir aussitôt après.

 

- Les enfants sont tous comme cela, ils promettent et oublient.

 

- Il ne va plus oublier les choses car j'en connais un qui à son retour va avoir le derrière qui va terriblement lui cuire

 

pour un long moment.....

 

Au revoir Madame Tougerd.

 

(La mère de Nicolas rentra chez elle)

 

 

17H30, toujours rien. Du côté de Nicolas, il décide de partir du copain pour rentrer chez lui. Il arrivera vers 18H.

 

La mère va dans le hall de l'immeuble, elle tient une belle baguette épaisse et à la fois flexible.Celui qui recevra les impacts aura très très mal.

 

La mère discute avec des voisines au rez de chaussée, il est 17H55 quand enfin elle voit son fils arriver.

 

- OU ETAIS TU ?

 

- chez un copain

 

- QUOI CHEZ UN COPAIN TU NE DEVEZ PAS REVENIR AUSSITOT LES COURS TERMINES POUR LES COURSES COMME CONVENU ?

 

- Oh mince j'ai oublié... (la mère arriva avec la baguette)

 

- TU NE VAS PAS OUBLIER LONGTEMPS, TIENS....

 

(elle lui donna sur le fond du pantalon 5 grands coups de baguette) :

 

CLAC CLAC CLAC CLAC CLAC

 

 

- Ouille ouille aie j'ai mal arrete s'il te plait.

 

- Ce n'est rien par rapport à qu'il va arriver à l'intérieur, met toi avec tes tenues adéquates.

 

Il entra chez lui, et frotta son postérieur vigoureusement, et il n'aura pas fini de se les frotter après sa belle et

 

monumentale fessée déculottée.

 

 

 

La coutume voulait qu'il aille dans le salon, mains sur la tête, à genoux et attendre sa mère arriver avec la chaise et les

 

accessoires pour qu'elle le fesse comme il se doit pour cette énorme désobéissance...

 

 

5 minutes après elle arriva, avec sa chaise et les accessoires.

 

 

Elle s'assit sur la chaise, lui dit :

 

- ARRIVE DE SUITE PRENDRE TA FESSEE....

 

Il arriva craintif sur la suite qui allait arriver et il ne va pas tarder à découvrir son terrible calvaire.

 

La mère lui déculotta son pantalon et le descendit vers le bas des chevilles, ainsi que le slip blanc.

 

Elle l'allongea sur ses genoux, le cala pour que son postérieur soit dans la bonne position pour bien pouvoir le fesser à guise, car la fessée promettait d'être longue, longue longue...

 

 

Elle prit sa main droite et claqua 5 fois sur chaque fesse.

 

Le teint blanc du postérieur devenait rosé. Nicolas commença a sentir la cuisson venir petit à petit, vu son visage qui

 

rougissait aussi, comme ses fesses au fur et à mesure des claques qui tombaient.

 

Puis elle prit sa pantoufle et lui claqua son postérieur très fortement une trentaine de fois multiplié par 3 :

 

 

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A suivre....

Par dendavid
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